La décision de la Cour suprême des États-Unis contre les mandats pourrait également être utilisée comme un précédent pour poursuivre les gouvernements et les entreprises canadiennes qui appliquent les mandats au Canada.
Nicole Lebrasseur, PDG du Canadian Peoples’ Union NFP, affirme que le projet de loi C‑2 a été présenté et adopté à la hâte le 16 décembre 2021, avec seulement 13 sénateurs canadiens siégeant et qui prétendent avoir effectuer une étude préalable, ont ensuite procédé aux trois lectures requises le jour même. La sanction royale a été donnée le jour suivant, soit le 17 décembre 2021. Les deux projets de loi C2-C3 peuvent être contestés.
https://www.parl.ca/legisinfo/fr/projet-de-loi/44-1/c-2
Le conseil d'administration du Canadian Peoples’ Union NFP et les bénévoles du PowerShift pour la liberté se sont réjouis à l’annonce que la Cour suprême des États-Unis ait bloqué l'obligation de vacciner ou de tester les grandes entreprises imposées par le président Biden, tout en autorisant cependant l'obligation de vacciner certains types de travailleurs de la santé, le 13 janvier 2022.
Ce nouveau précédent de la Cour suprême des États-Unis pourrait à lui seul aider les Canadiens à lutter légalement contre les mandats, les politiques et les lois répugnantes imposés illégalement par nos gouvernements, nos entreprises et nos employeurs depuis l'entrée en vigueur des mesures relatives au SRAS-CoV-2 COVID-19 en mars 2020.
Voir l'arrêt ici :
https://www.supremecourt.gov/opinions/21pdf/21a240_d18e.pdf
Notre recherche peut démontrer le lien entre les actions de remise en question des gouvernements fédéral et provinciaux canadiens qui ont essayé de détruire les lois canadiennes ayant des ramifications criminelles.
Ces lois ont été créées pour assurer la protection du génome humain tel qu'il se trouve dans la nature et, qui peut être facilement détruit par des chercheurs trop zélés qui veulent manipuler le génome humain dans notre corps ou encore par le biais de la reproduction génétique assistée.
En outre, les lois mises en œuvre protègent également les Canadiens contre la discrimination génétique, soit la Loi sur la non-discrimination génétique et la Loi sur la procréation assistée.
https://laws-lois.justice.gc.ca/eng/acts/G-2.5/index.html
https://laws-lois.justice.gc.ca/eng/acts/A-13.4/
Nicole Lebrasseur ajoute que : "selon nos recherches, nous pouvons plus facilement relier les points entre la pandémie, l'isolement canadien du SRAS-CoV-2, les scientifiques canadiens, le CDC, le Projet du génome humain, Francis Collins, NIH, Anthony Fauci et son lien avec Génome Canada, CanCogen, le gouvernement canadien, les bio banques du Québec, les bio banques d'ADN américaines et internationales, l'ARNm, l'édition du génome et le CRISPR-Cas9 de l'Université McGill, la bio banque, la recherche sur le génome, et leur affirmation de la nécessité de surveiller les changements de conformation des protéines, en utilisant des nano-antennes fluorescentes, et les mandats de vaccination de masse observés dans le monde entier."
Le lien le plus intéressant et le plus explicite est le projet du génome humain, Génome Canada, Cancogen, les produits pharmaceutiques, et le lien avec le Forum Économique Mondial (WEF) de Klaus Schwab, les villes génomiques, la collecte de données, les passeports vaccinaux et la grande réinitialisation.
Le Projet de génome humain de Francis Collins : https://www.genome.gov/video/HGP-30th-anniversary-video-selfie-testimonials
Les recherches effectuées par nos recherchistes ont indiqué que de nouvelles bio banques ont été créées ou se sont développées pour la collecte massive d'ADN, grâce à des tests RT-PCR effectués à des cycles de 35 à 45 seuils (CT), qui ne permettent pas de trouver une infection au-delà de 25 CT mais servent à séparer l'ADN et l'ARN.
Voir le tableau des ventes ci-dessous des différentes Bio banques, et des brins d'ADN prélevés sur les résultats négatifs ou positifs des tests RT-PCR des citoyens et vendus depuis mars 2020 par Discovery Lifesciences.


Le dernier lien est fait entre les actions du gouvernement canadien, qui a lancé son "Projet transhumaniste Horizons politiques Canada" expliqué dans le site Horizon. gc.ca, qui déclare que "la convergence bio digitale" ouvre de nouvelles voies saisissantes :
- Changer les êtres humains - nos corps, nos esprits et nos comportements
- Modifier ou créer d'autres organismes
- Modifier les écosystèmes
- Détecter, stocker, traiter et transmettre des informations.
- Gérer l'innovation biologique
- Structurer et gérer les chaînes de production et d'approvisionnement
Le site web indique en outre les "caractéristiques possibles" du système bio digital :
- Démocratisation
- Décentralisation
- Diffusion géographique
- Évolutivité
- Personnalisation
- Fiabilité des données numériques
La création du site Horizon.gc.ca du gouvernement canadien a également permis de comprendre pourquoi Justin Trudeau, les gouvernements provinciaux et les deux ministres de la Justice, Jody Wilson Raybould et son remplaçant au poste de ministre de la Justice et procureur général, David Lametti, ont tenté d’abroger la Loi sur la non-discrimination génétique du Code criminel du Canada. La Loi sur la non-discrimination génétique sert à protéger les Canadiens contre la discrimination génétique depuis 2017.
D'après nos constatations, le but de leurs efforts était de donner aux provinces ‘’carte blanche " pour le contrôle des lois sur l'ADN dans leur juridiction provinciale. L'histoire de cette affaire judiciaire est extrêmement intéressante et permet d'exposer les difficultés rencontrées par les gouvernements fédéral et provinciaux avant et après le lancement de la pandémie de COVID-19.
Nos recherches ont également permis de mieux comprendre les actions discutables des gouvernements canadien et provinciaux, puisque le virus ne pouvait pas reproduire une infection au-delà des cellules immunitaires, comme l'a démontré l'isolement canadien COVID-19 du SRAS-CoV-2 en mars 2020.
L'isolement canadien du SRAS-CoV-2 utilisé par le CDC et le fait que le Royaume-Uni et d'autres pays n'ont pas pu déclarer le SRAS-C0V-2 comme étant une maladie infectieuse à haute incidence (MHI) à partir de mars 2020 indique une malversation criminelle qui justifie une enquête plus approfondie.
Veuillez lire le communiqué de presse précédent "Excellentes nouvelles pour les Canadiens en 2022, car le SRAS-CoV-2 n'est pas considéré comme une maladie infectieuse à HAUTE conséquence (MCID)".
Si ces informations vitales n'avaient pas été exposées lors de témoignages devant les tribunaux, directement déclarés par les experts eux-mêmes, ou si elles n'avaient pas pu être trouvées dans des documents juridiques, le Canadian Peoples’ Union NFP ne serait pas en mesure d'aller de l'avant en tant qu’union de la défense de droits politiques et civils créé pour aider les Canadiens et les peuples autochtones concernés à réaliser le ‘’PowerShift pour la liberté".
Les Canadiens sont maintenant suffisamment autonomes pour pouvoir légalement soustraire à nos gouvernements le pouvoir de gouverner au-dessus de nous, le peuple.
En outre, le passage du pouvoir à la liberté permet aux Canadiens et aux peuples autochtones de défendre enfin leurs droits en tant qu'actionnaires collectifs, copropriétaires de la Couronne du Canada, de ses sociétés et de ses actifs, en rectifiant les droits collectifs d'autodétermination du peuple, qui ont été négligés délibérément d’être insérer dans la Constitution canadienne en 1982, dans le cadre des droits politiques et civils.
Si vous souhaitez obtenir de plus amples informations, veuillez contacter le Canadian Peoples’ Union NFP.
Veuillez visionner la vidéo et lire le commentaire de la vidéo : L'épisode ci-dessous traite de la réponse de la santé publique au Covid-19 grâce à la génomique. La rapidité du séquençage jusqu'à la réponse de santé publique : les données déterminent le cours des choses, ce qui exige de la flexibilité pour s'ajuster et s'adapter en conséquence. Le vaccin a été produit à un rythme sans précédent en utilisant un nouvel ARNm.
